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AÉRAGE 234 ci-dessus. On a pris le rayon r0 de l'ouverture cenLes ailes trale égal à om, 35, et le rayon
sont des arcs de cercle qui coupent la circonfé-
rence intérieure de 0'1,35 de rayon, sous Un angle de 45°, et sont tangentes à la circonférence extérieure. Elles sont au nombre de dix. La hauteur des ailes, dans le sens parallèle à l'axe , Sur leur Cette hauteur peut bord intérieur;' est de 00, être ici prise arbitrairement, pourvu qu'elle soit
égaie, ou plus petite que la moitié du rayon r. Cette limite ne peut être dépassée, parce qu'au-
trement la Surface A, qui est égale à celle de la surface cylindrique dont la base est la circonférence de rayoni'0, et la hauteur, celle des ailes, serait plus grande que l'aire du cercle de rayon ,ro, et l'on ne serait pas sûr, dans ce cas, que l'air remplisse la section, toute entière.- On a.-ensuite déterminé la hauteur des ailes sur le bord extérieur, en suivant la méthode développée 5 35, de manière à satisfaire à la condition : A, A
r,
0,35 0,60
Les ailes sont attachées , par leur tranche au disque mobile fixé à l'axe de rotation, et rasent la plaque BD, percée 'dune ouverture centrale, à laquelle elles ne sont point attachées,
et qui demeure immobile. Le jeu qu'il faut laisser entre les bords inférieurs des 'ailes, et la plaque
fixe, est ici sans inconvénient grave, à cause de la faible différence de, pression de l'air sur les
deux faces d'une même aile. Le volume d'air débité par ce ventilateur, dépend de la vitesse angulaire qu'on lui imprime, et demeure proportionnel à cette vitesse. Ce vo-
DES MINES.
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x lame est en effet exprimé par A..x u, , il De ce que l'on a AF=om.",2441 et est facile de conclure que chaque révolution du ventilateur autour de son axe, déplace un volume d'air de 0,92 mètre cube, quelle que soit d'ailleurs la durée ..de cette révolution. Ainsi, I>f étant le nombre de révolutions dans un temps donné, 1\1- x 0,92 sera, en mètres cubes, le volume d'air déplacé dans le même temps.
Le ventilateur représenté Pl. VI, est disposé de manière que son axe soit dans une position horizontale. Une des extrémités de cet axe est supportée par un chevalet C (fig. 2); l'autre par, une croix en fer, composée d'un barreau vertical,: sur lequel s'appuie un autre barreau horizontal ; cette croix, représentée à part (fig. 4), est fixée par les trois extrémités des barreaux , au contour de l'ouverture circulaire,- ménagée dans la plaque verticale BD (fig. 2). GG, est le conduit évasé qui,,
amène l'air au ventilateur. Ce conduit aboutit au puits d'où l'air doit sortir. Les diaphragmes plans c, c, représentés ir part ( fig. 3), sont fixés par des vis b, b, b, etc. (fig. 4 ) , sur la branche, horizontale de la croix qui supporte l'axe. P est une poulie qui sert à transmettre le mouvement de rotation à la machine ,-- par le moyen d'une corde sans. fin. Les explications relatives au venti-
lateur Pl. Fr, jointes à ce qui précède, suffiront pour l'intelligence complète de la machine représentée Pl. FI, Les deux- Ventilateurs , Pl. 17 et Pl. VI, ont; comme l'on voit, des formes très-différentes.
Cela doit être* pour qu'ils puissent réaliser, avec la plus grande économie de force motrice,
l'effet qu'on a en vue , dans les circonstances