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Bi,sultals
numriques.
ENIFLOI DE L'AIR ÇHAIiD
ration de la qualité du fer; la loupe, plus chaude, abandonne mieux sous le marteau les scories plus liquides; le fer se soude mieux et est plus doux. Les épreuves auxquelles on soumet toujours le fer avant de le livrer à la circulation ont toujours donné les meilleurs résultats; son emploi dans les fabriques de machines a fait voir qu'il avait toutes les qualités requises pour cet usage. On avait cru, dans l'origine, pouvoir combattre l'allure crue par l'addition de réactifs oxydants, mais ils étaient en quantité insuffisante et .n'ont pas même produit tout l'effet qu'on en attendait. Les résultats suivants, obtenus pendant les campagnes de 1835 et 1836 , confirment ce qui a été (lit plus haut sur l'économie de combustible et de métal obtenue par l'emploi de l'air chaud. Pendant 7 semaines à l'air chaud , on a produit 31 quintaux 107 livres de fer en barres. Soit 45 quintaux par semaine.
On a consommé 395 quintaux 100 livres de fonte, dont 85 quintaux 5 livres au charbon "de bois, et 90 korbes (à 64 pieds cubes) de charbon (charbon de pin rouge, à 5 quintaux 81 livres la korbe).
La fonte a rendu 79,3 p. 0/0 de fer en barres. On a
consommé, pour 100 livres de fonte, 16P.c.,7 de charbon. Eu 1835, le rendement moyen dans tons les feux d'affinerie a été de 74,05 p.0/0, et la consommation de 19P.',39 par 100 livres de fonte. L'économie de charbon a été de 2P.',69. Soit 13,8 p. 0/0, Le déchet a été diminué de 5,25 p. 0/0 du poids de la fonte, ou 25 p. 0/0 du déchet primitif. Usine
de Rybniek,
Les établissements royaux qui se trouvent près de la petite ville de Rvbnick sont au nombre de 4, , situés sur une petite rivière qui leur fournit la force motrice. Ils se composent de deux usines d'affinerie, comptant chacune 4 feux en activité, d'un laminoir pour l'étirage du fer, qui n'est façonné qu'en
263 lopins ((olben) dans les feux d'affinerie, et enfin DANS LES USINES A FER DE LA HAUTE SILÉSIE..
d'un laminoir à zinc et d'une petite forge à l'anglaise , où l'administration supérieure des mines a fait faire des essais de puddlage avant d'arrêter la construction de grandes forges à l'anglaise. L'air chaud n'était encore employé, en décent- introduction bre 1838 , que dans la seule usine dite Karsten- d" l'"ir cha"d' hütte depuis le mois d'avril 1838; il n'était encore qu'en essai; on devait monter des appareils dans les autres feux en y introduisant les perfectionnements reconnus nécessaires. On affine de la fonte au coke de Kcenigshütte et de la fonte au bois et à l'air froid, achetée à des usines particulières(- à de fonte au bois et 1. à de fonte au coke). La méthode d'affinage est la Même 'qu'a Malapane,
seulement la quantité de fonte affinée clans une opération est de 5 quintaux au lieu de 3 quintaux on ajoute pendant l'opération des rognures de tôle.
On 'emploie des charbons de pinastre et de pin rouge en proportion variable; on emploie aussi du charbon de souche. On forge le fer alliné en .grosses
barres ou lopins qui sont envoyés à l'usine de ParuschOwitz pour être étirés. On ne fabrique immédiatement qu'une très-pétite quantité de fer en barres. Les dimensions du creuset sont les suivantes 10 p°. Profondeur du creuset. Distance de la warme au contrevent 27 p'. -; (à la sole). de l'avant-creuset à la rus24 p". tine. du centre de la tuyère à la » 17 p".1 rustine. 3)
La tuyère est en saillie de 3 p°. , elle . plonge de. La warme est verticale, le contrevent est déversé en dehors de
2 p.m:.
Montage du feu.