Annales des Mines (1842, série 4, volume 2) [Image 188]

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370 SUR QUELQUES PORIVIULES DE CRISTALLOGRAPHIE. V a' +IP le +c' 2ce ehcosX'Y'±21, crIpcos"1" Z1+2e' a' pe cosZT

111191M523e3MUMMISSME

371 mutementenemefflefavekreem

eu' -1-he, +pwr

I/ a' f' --i-b"10

NOTE

bfkcosX1C-1-2b1c'hyrosY'Z'+2craiqfeosZ'X'

fii'+ V eg.' +b" +ci'

cosY'Z'+2cra'rgcosZ'X' b' glcosYr+2bi g ur+Ivr+rivr

abc

mais d'un autre côté ces longueurs sont égales à U

V

iV

Sur les procédés de M. Sire pour la fabrication du fer au moyen des gaz des hauts-fourneaux. Par M. EBELMEN, Ingénieur des milses.

e

si donc on remplace u', y', w', par leurs valeurs, on arrive aux trois équations :

M. Victor Sire, actuellement employé aux usines de Clerval m'a communiqué un brevet d'in-

ai- ar2c'-i-b"h'I-c"p2+2a'bichcosX'Y'-1-2b'crhpcosrZT+2c'cz'pecosZ'X' (ee hk PP)

vention de 15 ans, qui lui a été accordé le 31

-1-1,k'+ece+2arbrfk.cosX'Y'l-2bic'kqcosY'Z'+2c'arecosZ'X'

cation du fer au moyen du gaz des hauts-four-

b'

C_

a".e

±c" r'

(ff-1-1:k+qq)' b' gl cosX'Y' 4-2br crlr cosY'Z' +2c' a' rgcos Z'X'

l+rC

desquelles on tirera les valeurs de cos cos Y'Z', cos Z'X'. Au lieu d'admettre une forme primitive, de laquelle on dérive les formes secondaires, on peut considérer chaque forme en elle-même, et indé-

pendamment de toutes les autres, en les rapportant toutes à des axes cristallographiques, qu'on peut toujours supposer parallèles à trois arêtes d'une forme primitive quelconque. Les longueurs de ces trois arêtes deviennent alors les paramètres correspondants à chaque axe. Changer de forme primitive, c'est donc , en d'autres termes, changer d'axes cristallographiques et de paramètres ; et les formules de transformation établies ci-dessus s'appliquent également à cette manière d'envisager les formes cristallines.

octobre 1836, pour un système complet de fabrineaux. Ce système n'ayant pas été appliqué dans l'année qui a suivi l'obtention du brevet, les procédés qui y sont décrits tombent dans le domaine public, en vertu de la législation sur la matière. Il sera sans doute intéressant pour les maîtres de forges de comparer les appareils et les indications de M. Sire, avec les procédés appliqués en Allemagne

et en France, tous postérieurement à la date du brevet de M. Sire (i) , et cette publication per-

mettra d'attribuer à ce dernier la part qui lui revient dans cette importante découverte.

Lesfig. i, 2, 3, Pl. IX, sont la copie exacte du plan annexé au brevet de M. Sire. On a reproduit également ci-après le titre et la légende de ce plan. « Haut-fourneau et fours à la suite pour la fusion (1) D'après M. Delesse , les premiers essais de M. Faber Dufaur, dans l'usine royale de Wasseralfingen , remontent à la fin de 1837. Les résultats obtenus en France, à l'usine

de Treveray, ne datent que de l'année 1841.