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412 dans les matières fécales M. Remack a d'abord attiré mon attention stir Cet objet., et depuis M. 11,,ur-
kinje, M. Bôbn et mcl'frère, ont eu occasigttde les observer souventiAlPest très-probable qu'outre la digestion , il se pioduit dans le tube intestinal une véritable fermentation -alcoolique qui lecasionne les ventuosités.
Le sang qui entoure le tube intestinal dissout l'acide carbonique qui petitse dégager par le poumon sans recouril'Wdlantres voies. Ces êtres orga-
nisés, ordinairemeneefbrine elliptique, possè-
dent deux pointshprentsquelque[ois ils renferment une -ii.îjà§kiefinultu'sesicomme ceux deS-férhegiii-S.'"P nripirruff
MM. BoutrorW1FMtny ont ,prouvé tout réc erii reW que lâmetihe se transforme en açi de laCti4ugleulsTin flitentO du cas én m et.quetcOluiffleuébieUfe aveC 11apide formé. Eminutrehi en séparant lese"aàéunilresa-Combinaison avec Jileide
ladtklqileaiilliiioyen du carbonateuédelsoat ; il s'eilledcliiirtine nouvelle quantité. La>conartusitioW dreaCide lactique est telle qu'il se représente par tin 'Sucre de lait, moins une certaine quantité d'é'au. j'ai répété ces expérienees avecmlé même rédiltat; mais comme dans9ciitto_réactiomrotil se une combinaeodidefChséhnret dacid«dacfignitéri de _t'acide tie »112Tet su MIS-et' la cli4iteyotur ifedaeérli Miter Yient4alieli ler, pliénbinèneleGêperiaânt la cbtigulgiclmilinlali4n dans l. prépeatId4I-Idu fromage,; gembleoêtro !flue à
413 présure que j'ai pu»me prounrer était préparée au nrôn5rén de la muqueuseelles membranes musEXTRAITS.
cutees qu'on enlevait,del':_égtornac, en rejetant le pu tt.,,s-.f.7:bien coaguler du lait en peritiene;
Meiservant,d'autrespartiés du péritoine, par exempie; .avec la,partie qui recouvrer le coecum. Quand on prend la précaution d'éleyer un peu la température du lait, la coagulation se produit en quelques
heures, soit en y suspendant la membrane ellemême, soit eu versant dans le lait une infusion chaude de ;.belle-ci. La membrane et son infusion ne.possèdent pas de réaptiugacide, et lejait reste neutre pendant sa coagulation. JeRttient au Les combinaisons chimiques qui s.:ef
moyen de;substances qui -n'agissent-eue-par leur
ccontact ont beaucoup &analogie aveell,essiu:on détermine quand, par - exemple, unquirp.ssecoun bineuvecnb second, et que le composé qui en résulte -serptjrte sur un troisième corps. L'acide îsulfureux a plus d'affinité:, ponPir..1'qur gène:: que >1.lebioxyde
d'azote; cependant acide
sulfureux née combine pas avec l'oxygène quand on lasse:Io-mélange de ces gaz en contact peudantlienlongtemps , tandis que le bioxyde d'azotenskinpareidirecteinent::..4 l'oxygène gazeux po uti af&merundea Xagisk :7)*pu,a. zotiqu e
cède sbnià-xygeYie, a-,449sulfureux en .redevefignebioxydeueazote. It'Autyp'ygène se tronyedonc , dans -rdaliyupôffltiqtioifgans un état4e1; qu'il peut ,selCorribiner avec l'acide sulfureux. -En met-
d"ali tr es &Uses p u squ' on: emplijteedinai rem ent
tant deroxygène et de l'acide sulfureux mélangés
laIrésure pour la provoquer. Oiiisidppose ordinairement que c'est lé partie interné de l'estomac des veaux qui détermine la coagulation du lait. Cela n'est pas cependant ; la
Tous ces procédés , et surtout la production
en présence de mousse de platine, ces deux gaz se combinent : rection du platine est donc encore ici la même que pour l'hydrogène et l'oxygène.